Pourquoi tout le monde change-t-il soudainement de comportement ? Etsuko est-elle la seule à se rendre compte que son amie, son patron, son mari ne sont plus tout à fait les mêmes ? Peu à peu, elle réalise que si des forces mystérieuses sont en train de prendre l’apparence des hommes, elles échouent à décrypter leurs sentiments. Et celui d’Etsuko envers son mari est encore plus étrange que les autres… Quand un grand metteur en scène Japonais décortique notre humanité, cela donne un film fascinant.
Nishimiya est une élève douce et attentionnée. Chaque jour, pourtant, elle est harcelée par Ishida, car elle est sourde. Dénoncé pour son comportement, le garçon est à son tour mis à l’écart et renvoyé du lycée… Des années plus tard, il apprend la langue des signes… et part à la recherche de la jeune fille. Un chef d’œuvre de l’animation japonaise, d’une profondeur bouleversante et d’une infinie créativité visuelle. Le meilleur anime de 2018.
Relatant déjà très bien l’importance du personnel de santé auprès d’une population vieillissante, le film L’infirmière , qui sortira le 5 août, est donc rattrapé par l’actualité. La méfiance, le harcèlement puis le rejet dont est victime Ichiko dans le film, quelque soit la réalité de sa culpabilité, rappelle les pressions qu’ont subies les infirmières du fait de l’amour De l’amour. Nous avons décidé de nous engager contre le harcèlement, ce fléau particulièrement ancré au Japon.
Vous adorez le Japon et plus encore son cinéma ? Vous aviez particulièrement apprécié la sélection de films du festival LES SAISONS HANABI ? Participez à la campagne de financement lancée par HANABI jusqu’à Noël en faisant le plein de cinéma : Nous avons besoin de vous pour prolonger la belle expérience de LES SAISONS HANABI avec les programmes d’Automne et d’Hiver dans tous les cinémas de France en 2020 ! Après le petit succès des 16 films présentés en 2019 dans le cadre des programmes Printemps et Été, c’est grâce à vous que nous pourrons prolonger ce concept unique en France : le premier festival saisonnier ! De nombreux coffrets et DVD de tous les films japonais que vous avez vus, eu envie de voir ou d’offrir ces deux dernières années ainsi que d’autres dotations exceptionnelles vous seront proposés avant ces fêtes de fin d’année.
Hanabi part à la découverte du Japon à travers les yeux de ceux et celles qui y ont été accueillis ou qui en sont originaires : étrangers au Japon (gaijin) ou Japonais (nihonjin) en France, chacun d’entre eux a une histoire simple ou rocambolesque, toujours unique, qui le relie au pays du Soleil Levant. Amour, hasard, travail, ennui : le départ a ses raisons que la raison ignore. Le portrait du Japon qui s’y dégage est celui d’un pays aux mille et unes nuances, privées et palpitantes. Troisième rencontre de notre périple intime : Kinuko Asano, photographe, designer et directrice artistique de la galerie/librairie &co119, à Paris.
Hanabi part à la découverte du Japon à travers les yeux de ceux et celles qui y ont été accueillis ou qui en sont originaires : étrangers au Japon (gaijin) ou Japonais (nihonjin) en France, chacun d’entre eux a une histoire simple ou rocambolesque, toujours unique, qui le relie au pays du Soleil Levant. Amour, hasard, travail, ennui : le départ a ses raisons que la raison ignore. Le portrait du Japon qui s’y dégage est celui d’un pays aux mille et unes nuances, privées et palpitantes. Deuxième rencontre de notre périple intime : Yomi Kamoike, artiste tatoueur chez The Golden Rabbit Tattoo Society, à Paris.
Hanabi part à la découverte du Japon à travers les yeux de ceux et celles qui y ont été accueillis ou qui en sont originaires : étrangers au Japon (gaijin) ou Japonais en France, chacun d’entre eux a une histoire simple ou rocambolesque, toujours unique, qui le relie au pays du Soleil Levant. Amour, hasard, travail, ennui : le départ a ses raisons que la raison ignore. Le portrait du Japon qui s’y dégage est celui d’un pays aux mille et unes nuances, privées et palpitantes. Première rencontre de notre périple intime : Martino Cappai, historien de l’art, céramiste et directeur artistique du centre d’Art Brut Yakunosato, résidant sur l’île de Yakushima.
Trois jeunes musiciens assis l’un à côté de l’autre sur le petit canapé des loges de La Boule Noire, à Paris. La balance d’un groupe de rock résonne, étouffée à travers les portes qui s’ouvrent et se referment. Ils joueront quelques heures plus tard, dans le cadre du MaMa Festival, pour la première fois en France. Découverte heureuse de The fin. (avec le petit point, s’il vous plaît), un trio d’indie rock originaire de Kobe qui a le vent en poupe en Asie et qui prend de l’ampleur en Europe.
La rétrospective consacrée à Mary Cassatt au musée Jacquemart-André, nous offre un beau prétexte pour vous faire (re)découvrir les oeuvres les plus japonisantes de cette artiste américaine, repérée par Degas et figure majeure de l’impressionnisme. Si le propos de l’exposition consiste à nous faire voir Mary Cassatt en “artiste moderne”, le spectateur peinera peut-être à s’en convaincre devant ces nombreuses compositions de mère à l’enfant. Leur ambiance doucereuse, qui n’est pas sans évoquer certaines maternités de Renoir, semble en effet nous parvenir d’un temps révolu. Et nous fait sentir devant elles comme devant une mode vestimentaire ancienne qu’on moque gentiment parce qu’on n’en perçoit plus les ressorts.
Ryoji Ikeda se définit volontiers comme un charpentier. Pure provocation, venant de celui que l’on considère comme un artiste majeur de la musique électronique minimaliste ? Plutôt une image choisie pour caractériser au mieux une démarche artistique poussée à son paroxysme. Celle-ci est tendue par la volonté de donner à voir, à ressentir une abstraction — ici la notion d’algorithme, les métadonnées ou le son — comme l’artisan assemble pour créer une architecture.