Ondulées comme des vagues, placides comme une nappe de neige, muses végétales des poètes japonais et des modernistes européens, les mousses, petites dernières dans la vaste classe de la flore, ont au contraire tout à nous apprendre, à partir d’un renversement des proportions qui transforme le minuscule en infini, et inversement.
Avec une grâce infinie, Véronique Brindeau se penche sur la culture toute japonaise des mousses et nous emmène à travers la littérature, la philosophie et la spiritualité nippones au plus près du sol et de la vie.